Quand François Rebsamen, maire de Dijon et président de l'agglomération, résume la politique de M. Brenot par : "Il consomme de l'espace sans aucun souci écolo et il refuse toute démarche d'ensemble.", Lucien Brenot riposte aussitôt, crûment : "L'argent de "Rebs", je n'en ai rien à foutre." ( "Le Monde" du 21-02-2008 )
Le maire sortant profite de sa publication sur les finances communales pour lancer une campagne de dénigrement et de calomnies à mon encontre. Sur l’endettement de notre ville, mes arguments budgétaires reposent exclusivement sur des chiffres officiels du Ministère de l’Economie et des finances et de la Trésorerie Générale.
Aucun projet n’a jamais été fait sur Chevigny sans avenants : un bout oublié, un truc à changer au dernier moment, un détail comme des portes compatibles avec des fauteuils roulants au Dojo, une régie-lumière non-prévue au départ…
La Cour Régionale des Comptes en a fait plusieurs fois dans le passé la remontrance à la Municipalité.
« Un taux d’endettement important, des comptes altérés,
des incohérences dans l’attribution des marchés, ... ».
Voilà ce que pensait la Chambre Régionale
des Comptes de la gestion Brenot-Rotger entre 1996 et 2002, après 20 ans à la mairie.
Pas de recours à l’emprunt écrit M. Brenot. Le compte administratif 2005 fait état de 900.000 € empruntés pour le dojo, alors que le maire refuse des subventions. A ce jour, aucun document comptable, aucune délibération ne mentionne le mot « ogive », appellation récente du dojo. On se demande qui n’est pas sérieux, et qui cherche à tromper les chevignois.
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